06/09/2019 à 11:30, B.G
Yannick Bellon au Reflet Médicis pour l’intégrale de ses films et courts métrages
Ses films racontaient des prises de conscience, des combats, des destins. Cinéaste audacieuse, également monteuse, scénariste, productrice, Yannick Bellon conjuguait tous les talents. Son cinéma, imprégné d’un imaginaire poétique et d’une esthétique léchée, captait l’air du temps. De Quelque part quelqu’un au Souvenir d’un avenir en passant par L’Amour violé, retour sur un parcours foisonnant qui a marqué l’histoire du cinéma français.
Au programme
Quelque part quelqu’un
1972 - 1h38
L’amour violé
1978 - 1h55
présenté par Michèle Simmonet le 7 sept. 17h50
La femme de Jean
1974 - 1h40
présenté par Eric Le Roy le 4 sept. 17h55
Jamais plus toujours
1975 - 1h20
L’amour nu
1981 - 1h41
Les enfants du désordre
1989 - 1h31
L’affût
1992 - 1h43
+ 4 courts :
Goémons
1948 - 24 min
Colette
1952 - 30 min
Varsovie quand même
1955 - 17 min
Zaa petit chameau blanc
1960 - 28 min