Brigsby Bear VOD

Vous aimez ce film, notez le !
Personne n'a encore voté pour ce film !
James est le seul à connaître l'émission de télévision pour enfants 'Les Aventures de Brigsby Bear', avec laquelle il a grandi. Surprotégé par des parents qui l'ont toujours tenu écarté des 'dangers' du monde moderne, son univers est totalement chamboulé lorsqu'il apprend l'annulation de sa série fétiche. James se lance alors le défi de finir l'histoire par ses propres moyens, et, en devenant le nouvel auteur de Brigsby Bear, se reconnecte petit à petit à un monde qu'il ignorait : le nôtre.

Vos commentaires et critiques :

SEMAINE DE LA CRITIQUE 2017: FILM DE CLÔTURE 

Ces bonnes vieilles années 1980

Dave McCary et Kyle Mooney, respectivement réalisateur-coscénariste et interprète de Brigsby Bear, sont des amis d’enfance qui ont en commun bien plus qu’un passé d’écoliers. Après avoir réalisé de nombreuses vidéos pour Internet, ils travaillent au Saturday Night Live, célèbre émission comique diffusée sur NBC, avant de se lancer dans ce premier long. Leur troisième comparse, Kevin Costello, œuvrait comme assistant de production à Los Angeles, répondant au téléphone le jour et écrivant des scénarios la nuit. L’idée centrale de Brigsby Bear, une émission télé pour enfants produite pour un seul spectateur, est lancée par Kyle Mooney. Comme il est pris par le SNL, c’est Kevin Costello qui développe les premiers jets, mais ils échangent lors de longs week-ends. Ils adressent le scénario à Mark Hamill. "C’est un rôle différent et plus sombre de ce qu’il a l’habitude de faire, mais l’idée de jouer ce père excentrique l’a enthousiasmé", souligne Kyle Mooney. Son arrivée va porter le projet à un niveau supérieur et enclenche sa préparation. Fort de son expérience à la télé, Kyle Mooney décide de jouer le personnage principal. Produit par 3311 Productions, en coproduction avec YL Pictures, il est tourné à Salt Lake City et ses environs au cours de l’été 2016. "Nous avons dû nous répartir les habitudes prises à la télé, précise Dave McCary. Il n’était plus question de faire rire à tout prix. Nous voulions rendre justice à nos personnages, veiller au réalisme des situations. S’il y a des moments drôles, il n’était pas question de se livrer à des performances, sous peine de tuer toute émotion."