Je vois rouge

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Après 25 ans passés en France, Bojina retourne en Bulgarie avec un soupçon vertigineux : et si sa famille avait collaboré aux services
secrets du régime communiste ?
Caméra au poing, elle embarque ses parents dans une quête effrénée qui menace de tourner à la catastrophe. Dans son obstination à trouver la vérité, elle se voit dépassée par ses propres méthodes qui ressemblent étrangement à celles du passé.
Une odyssée tragico-comique qui mélange le film d’espionnage et le film de famille.
C’est vrai comme le dit le père à sa fille la génération d’aujourd’hui aime bien fouiner dans le passé, mais la réalisatrice ne se rend pas très bien compte de l’époque bulgare communiste et ne doit en rien rougir de ses parents, ce n’étaient quand même pas des SS. Cette catharsis générationnelle, même si des exactions ont été commises sous le régime communiste, se présente en fait comme “totalitaire” et finit par ressembler aux méthodes qu’elle dénonce.
  • Titre original : Je vois rouge
  • Fiche mise à jour le 07/05/2019
  • Année de production : 2018
  • Réalisé par : Bojina Panayotova
  • Date de sortie : 24 avril 2019
  • Date de reprise : non renseignée
  • Distributeur France : JHR Films
  • Distributeur international : Stank
  • Durée : 84 minutes
  • Origine(s) : France Bulgarie
  • Genre(s) : Documentaire
  • Pellicule : couleur
  • Format de projection : 1.77
  • Format son : VOSTFR Bulgare, français
  • Visa d'exploitation : 144020
  • Indice Bdfci :
    66%

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Après 25 ans passés en France, Bojina retourne en Bulgarie avec un soupçon vertigineux : et si sa famille avait collaboré aux services
secrets du régime communiste ?
Caméra au poing, elle embarque ses parents dans une quête effrénée qui menace de tourner à la catastrophe. Dans son obstination à trouver la vérité, elle se voit dépassée par ses propres méthodes qui ressemblent étrangement à celles du passé.
Une odyssée tragico-comique qui mélange le film d’espionnage et le film de famille.
C’est vrai comme le dit le père à sa fille la génération d’aujourd’hui aime bien fouiner dans le passé, mais la réalisatrice ne se rend pas très bien compte de l’époque bulgare communiste et ne doit en rien rougir de ses parents, ce n’étaient quand même pas des SS. Cette catharsis générationnelle, même si des exactions ont été commises sous le régime communiste, se présente en fait comme “totalitaire” et finit par ressembler aux méthodes qu’elle dénonce.