Machete Kills -12

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Le président des Etats-Unis confie une mission suicide à Machete : sauver le pays d'un redoutable chef de cartel mexicain, qui menace d'envoyer un missile nucléaire sur le sol américain.

Vos commentaires et critiques :

Machete tweete pas!
La fin du premier opus ou l'amorce finale nous signalait “Machete return“, et bien c'est chose faite avec ce deuxième volet de la saga de Robert Rodriguez. Cette fois-ci notre super-héros est mandaté par le président des Etats-Unis himself pour débusquer un dangereux psycho-mégalo qui menace d'envoyer un missile nucléaire sur Washington.
Le personnage de Machete, né de l'imagination de Rodriguez bien avant la fausse bande-annonce insérée dans GRINDHOUSE en 2007 est le super-héros indestructible que les fans connaissent bien et ils vont être ravis de le retrouver débarrassé de ces vieux démons de vengeance pour faire œuvre d'utilité publique, mais à sa manière et la manière de Machete est plutôt radicale si je puis dire. Va s'en suivre une série de scènes d'actions hyper violentes avec bras, jambes, têtes et jugulaires tranchés à la pelle et nous refait même le coup du boyau en plus trash. Malgré tout quelques scènes affriolantes et jamais vues à l'écran “forcent le respect“ , l'étonnant El Cameleón interprété par 4 acteurs dont Lady Gaga stupéfiante, et les sous-vêtements mortels de Madame Desdemona, et donnent à ce film plus qu'une parodie mais un véritable esthétisme de la violence, même si c'est pour rire.
Interprétation de premier plan, outre la clique des nymphettes de Rodriguez (Jessica Alba et Sofia Vergara et les autres) et son indécrottable Danny Trejo (l'homme de la situation), étonnante prestation de Mel Gibson en psychopathe visionnaire.
Amorce finale après le générique du film (restez jusqu'à la fin) nous réserve une petite surprise. Et si le N° 3 était en route, vous direz en sortant “c'était écrit à la fin“.