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Toutes vos critiques :

Le rite
Le rite (2011), la critique de GUY05
Le film est tiré du roman de Matt Baglio intitulé "Le rite, un exorciste aujourd'hui".
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L'Assaut
L'Assaut (2010), la critique de GUY05
Pour rendre la scène de l'assaut proprement dite la plus réaliste possible, Julien Leclercq a décidé de ne pas faire appel à des comédiens mais à de vrais militaires préparés: "Dans le film, quand le groupe est prêt à donner l’assaut, ce sont tous d’authentiques membres du GIGN sous la cagoule, à l’exception de Vincent Elbaz et de Gregori Derangère", explique-t-il. (Allociné)
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Sale temps pour les pêcheurs
Sale temps pour les pêcheurs (2009), la critique de GUY05
"Sale temps pour les pêcheurs" a été présenté en Compétition Officielle lors de la Semaine de la Critique du Festival de Cannes 2009. Il a également été présenté dans de nombreux festivals, et notamment à Lima, à São Paulo et à Sofia.
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Le Voleur de lumière
Le Voleur de lumière (2010), la critique de GUY05
"Le Voleur de lumière" a été présenté lors de nombreux festivals français en 2010 et en 2011, et a notamment fait partie de la Quinzaine des réalisateurs au Festival de Cannes de 2010. Il a également reçu le Prix de la Fiction au Festival International du Film d’Environnement de Paris, ainsi que le Prix Spécial de Jury et le Prix de l’Association Catholique Mondiale pour la Communication au Festival International du Film d’Amiens.
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Sans identité
Sans identité (2011), la critique de GUY05
"Sans identité" a été entièrement tourné en Allemagne, dans les studios de Babelsberg, le plus vieux complexe de studios de cinéma au monde. "Metropolis" de Fritz Lang y a notamment été filmé.
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Winter's Bone
Winter's Bone (2010), la critique de GUY05
Jennifer Lawrence a été élue par le New York Times comme l’une des "50 personnes à suivre" en 2010 grâce à son rôle dans le film de Guillermo Arriaga, "Loin de la terre brûlée", pour lequel elle a reçu le prix Marcello Mastroianni du Meilleur Espoir au 65ème Festival de Venise. C'est pourtant en 2011 qu'elle a une grosse actualité puisque outre "Winter's Bone", on la retrouve cette année-là dans "The Beaver" aux côtés de Mel Gibson et Jodie Foster (réalisatrice du film), et qu'elle est la mutante "Mystique", une des nouvelles recrues de "X-Men: First Class", cinquième épisode de la saga.
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Winter's Bone
Winter's Bone (2010), la critique de GUY05
Le film a été présenté en compétition au Festival du Film de Sundance en 2010 où il a remporté le Grand Prix du Jury ainsi que le Prix du Meilleur Scénario. "Winter's Bone" a également reçu deux prix au Festival de Berlin la même année.
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Winter vacation
Winter vacation (2010), la critique de GUY05
"Winter Vacation" a été présenté lors de la 63ème édition du Festival du film de Locarno. Il y a reçu le Léopard d'Or de cette édition 2010, surprenant alors une partie des critiques.
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Dossier secret (Mr. Arkadin)
Dossier secret (Mr. Arkadin) (1955), la critique de GUY05
Orson Welles s'est beaucoup heurté à la rigueur des studios hollywoodiens. Après Macbeth (1948), il décide de quitter les Etats-Unis. Exilé en Europe, il bénéficie d'une liberté artistique totale. Orson Welles réalise en 1955 "Mr. Arkadin" exactement comme il l'entend. Financé par des collaborations françaises, allemandes, anglaises et espagnoles, "Mr. Arkadin" est un film cosmoplolite aussi bien dans son équipe technique que dans son interprétation.
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Les Voyages de Gulliver
Les Voyages de Gulliver (2010), la critique de GUY05
"Les Voyages de Gulliver" est une nouvelle adaptation au cinéma du fameux roman d'aventures du même nom, écrit en 1721 par Jonathan Swift. Connue de tous, cette célèbre histoire avait déjà été transposée sur petits et grands écrans à de nombreuses reprises. Ses adaptations les plus marquantes restent le film réalisé en 1960 par Jack Sher, avec Kerwin Mathews dans le rôle de Gulliver, et le téléfilm de Charles Sturridge en 1996. Aussi étonnant que cela puisse paraître, le nom de Jonathan Swift n'est pas cité au générique de la version de 2011.
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Requiem pour une tueuse
Requiem pour une tueuse (2010), la critique de GUY05
Jérôme Le Gris, le réalisateur, revient sur le cinéaste qui l'a le plus influencé : "J’ai été très marqué plus jeune par le cinéma d’Hitchcock (La Mort aux trousses, Psychose et Sueurs froides entre autres) et ses héroïnes féminines (Ingrid Bergman,Grace Kelly, ...), j’ai eu envie de suivre ses traces." Avec Requiem pour une tueuse, il réalise son envie de faire "un polar hitchcockien ancré dans notre époque". (Allociné)
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Sanctum
Sanctum (2010), la critique de GUY05
Le spéléogue Andrew Wight a dirigé une expédition visant à plonger et à explorer un réseau de cavernes souterraines situé sous la plaine de Nullarbor, en Australie. Pendant son exploration, un orage imprévu a fait s’effondrer l’entrée du réseau, et le cinéaste se retrouva pris au piège sous terre avec une quinzaine de personnes. Une mission de sauvetage fut organisée, et tout le monde a survécu à cette terrible épreuve. C'est cette expérience qui a inspiré Wight, avec l'aide du scénariste John Garvin, pour développer un film sur son aventure.
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127 heures
127 heures (2010), la critique de GUY05
"127 heures" porte bien son nom. Le film est fondé sur l'accident d'Aron Ralston, un randonneur américain qui, malgré son expérience, s'est retrouvé coincé pendant 127 heures dans un canyon près de Moab dans l'Utah en 2003. En 2006, dès la publication du livre "Plus fort qu’un roc" retraçant son épreuve, Danny Boyle l'a approché pour adapter son histoire au cinéma. (Allociné)
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Le Crime était presque parfait
Le Crime était presque parfait (1954), la critique de GUY05
Dans les années cinquante, la Warner produisit plusieurs films en 3D dont "L'Homme au masque de cire" et "Le Crime était presque parfait". Le procédé consistait en une prise de vue à deux caméras synchrones, l'une pour l'oeil droit, l'autre pour l'oeil gauche. Les images superposées étaient ensuite projetées sur un seul écran. Mais le spectateur devait être muni de lunettes Polaroid pour visionner le film en relief. A la sortie du "Crime était presque parfait", ce procédé était déjà passé de mode et le film ne fut pas projeté en 3D...
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La bella gente, les gens bien
La bella gente, les gens bien (2009), la critique de GUY05
"La Bella Gente" a reçu le Grand Prix et le Prix CICAE au Festival du Film italien d'Annecy. Il a également été présenté aux Festivals du Film italien de Grenoble, Toulouse, Tremblay et Bastia.
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John Rabe, le juste de Nankin
John Rabe, le juste de Nankin (2009), la critique de GUY05
"John Rabe" a été nommé dans 7 catégories aux German Films Awards et aux Bavarian Films Awards. Il a ainsi reçu le prix du Meilleur Film, le prix de la Meilleure Production, et deux fois le prix du Meilleur Acteur pour Ulrich Tukur.
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Les Femmes du 6e étage
Les Femmes du 6e étage (2011), la critique de GUY05
Pour écrire le scénario des "Femmes du 6e étage", Philippe Le Guay s'est beaucoup inspiré de sa propre enfance. En effet, son père était agent de change, comme le personnage joué par Fabrice Luchini dans le film, et ses parents avaient aussi une bonne espagnole qui s'est beaucoup occupée de lui bébé...
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The Hunter
The Hunter (2010), la critique de GUY05
Tourné en Iran, The Hunter a pu se soustraire par miracle à la censure (extrêmement virulente) du pays, dont il critique pourtant le régime avec force. Rafi Pitts a profité des troubles causés par les élections de 2009 pour réaliser son projet, qui est ainsi devenu le film le plus controversé du moment dans le pays. Il est utile de rappeler que l’Iran, dont 70 % de la population a moins de 30 ans, est le pays où la peine de mort est le plus appliquée, et où la presse et les réseaux internet sont le plus contrôlés. Le cinéma n’échappe généralement pas à la règle. (Allociné)
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Les fables de Ladislas Starewitch
Les fables de Ladislas Starewitch (2010), la critique de GUY05
"Les fables de Ladislas Starewitch" se compose de cinq courts métrages d'animation, tous réalisés par le cinéaste russe : Le rat de ville et le rat des champs (1926), Les grenouilles demandent un roi (1922), La cigale et la fourmi (1927), Le lion et le moucheron (1932) et Le lion devenu vieux. La compilation se termine avec un court documentaire ("Comment nait et s'anime une marionnette"), qui revient sur le processus de création de ces cinq courts métrages.
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Quoi de neuf, Pussycat ?
Quoi de neuf, Pussycat ? (1965), la critique de GUY05
Tom Jones chante la chanson-titre du film, qui sera en outre l'un de ses plus grands succès. Le cinéma a toujours eu une relation forte avec le chanteur puisqu'il chantait aussi la même année pour le film "Opération Tonnerre", avant de participer à la bande originale de "Quand la Panthère rose s'emmêle", côtoyant de nouveau au générique Peter Sellers. Pas moins de trois de ses chansons seront également utilisées dans "Edward aux mains d'argent" de Tim Burton. Le réalisateur ira jusqu'à lui confier un rôle dans son film "Mars Attacks!", qui finit par une scène mémorable sur son plus grand tube "It's Not Unusual".
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