Burlesque (2010), la critique de GUY05
Steven Antin, peu connu pour ses longs-métrages, signe ici sa première comédie musicale. Il emprunte bon nombre de procédés et d'éléments au courant néo-burlesque. Ce courant apparu dans les années 1990 aux Etats-Unis prend sa source dans le music-hall. Sa caractéristique principale est d'allier le strip-tease à la danse et au théâtre. La dimension subversive est présente mais elle reste sous-couverte d'une grande recherche esthétique à la limite du kitsch. On devine dans le déhanchement suggestif des stars appartenant à ce courant la marque d'un glamour provocateur tirant à la satire sociale...
(Lire la suite)

Les yeux de Julia (2010), la critique de GUY05
Le film décrit le cheminement de l'héroïne vers la cécité, un glissement lent et périlleux vers les ténèbres. Nombre de films ont pu inspirer Guillem Morales: citons, entre autres, "Seule dans la nuit" de Terence Young, (1967) dans lequel des tueurs pourchassent une jeune femme aveugle (interprétée par Audrey Hepburn), qui s'est retrouvée par hasard en possession d'une poupée contenant de l'héroïne, "Terreur aveugle" de Richard Fleischer (1971) qui met en scène Mia Farrow, personnage aveugle poursuivie par un tueur après avoir été témoin d'un meurtre...
(Lire la suite)

Mon beau-père et nous (2010), la critique de GUY05
Dustin Hoffman a failli ne pas reprendre son rôle de Bernie Furniker, car il n'était content ni du script, ni du fait que Jay Roach (réalisateur des deux premiers films) ait été remplacé par Paul Weitz. Finalement, l'acteur a trouvé un accord avec Universal Pictures pour tourner six scènes.
(Lire la suite)

Sous toi, la ville (2010), la critique de GUY05
Ce film a été présenté lors du Festival de Cannes 2010 dans la catégorie "Un certain regard".
(Lire la suite)

Le Grand National (1944), la critique de GUY05
L'actrice Elizabeth Taylor était âgée de 12 ans lors du tournage du film. Encore petite, elle mangea davantage, fit des exercice et atteignit finalement la taille suffisante pour le rôle. Durant le tournage, elle fut victime d'un important accident de cheval qui la laissa avec des blessures irrémédiables.
(Lire la suite)

Armadillo (2010), la critique de GUY05
Dans cet aéroport danois, des parents s'affligent et des jeunes gens se réjouissent : ils partent, ces conquérants, à l'assaut de l'Afghanistan, histoire de se prouver, sans doute, leur virilité. Ou, peut-être, pour comparer la vraie guerre à celle de leurs jeux vidéo... Les larmes, l'enthousiasme : on dirait le début d'un film hollywoodien grandiose. Mais non : il s'agit juste d'un documentaire, dont l'étrangeté même fait l'intérêt. Durant quatre mois, Janus Metz a suivi les conscrits volontaires pour un apprentissage dont il révèle, peu à peu, les étapes. La fascination, d'abord. L'émerveillement de Mads, Daniel, Rasmus et les autres devant ces hélicoptères majestueux bruissant dans ces paysages perdus et crépusculaires...
(Lire la suite)

Armadillo (2010), la critique de GUY05
"Armadillo" a été sélectionné au Festival de Cannes en 2010, en compétition durant la Semaine de la Critique et a gagné le Grand Prix. C’est la première fois que le Danemark présente un film de ce genre au festival. Comme la section de soldats, Janus Metz et son chef-opérateur Lars Skree ont dû écrire leur testament et des lettres à leurs proches au cas où ils seraient blessés ou tués durant leurs six mois de séjour.  Plusieurs soldats ont été blessés durant leur déploiement, et trois soldats d’un camp situé a proximité ont été tués par des engins explosifs.
(Lire la suite)

Le voyage du directeur des ressources humaines (2010), la critique de GUY05
"Le Voyage du directeur des ressources humaines" a été élu meilleur film, meilleur réalisateur et meilleur scénario aux Isreali Academy Awards, les "Oscars israéliens" 2010.
(Lire la suite)

Faites le mur ! (2010), la critique de GUY05
"Faites le mur" est le premier film réalisé par Banksy, artiste graffeur de réputation internationale dont personne ne connait l'identité et le visage. Le film a été soupçonné d'être un vaste canular avant sa sortie. (Allociné)
(Lire la suite)

Roses à crédit (2010), la critique de GUY05
Amos Gitaï accorde une double vie à son nouveau film. "Roses à crédit" sera donc exploité dans deux versions: l'une écrite pour la télévision et l'autre pour le cinéma. (France 2) Après ses films à portée politique et se déroulant bien souvent sur les terres de Palestine et d'Israël, le réalisateur souhaitait changer de décor et d'époque. Pari tenu: il revient sur les écrans avec l'adaptation d'un best seller des années 1950 écrit par Elsa Triolet. (Allociné)
(Lire la suite)

The Tourist (2010), la critique de GUY05
"The Tourist" est un remake du film français "Anthony Zimmer" réalisé par Jérôme Salle avec Sophie Marceau et Yvan Attal, sorti en France en Avril 2005. "The Tourist" est indéniablement connecté à la France: remake d'un film français, co-production franco-américaine, présence au casting de plusieurs comédiens français. En outre les deux vedettes du film possèdent chacun une maison dans le Sud de la France. (Allociné)
(Lire la suite)

Skyline (2010), la critique de GUY05
Le tournage de "Skyline" a duré 42 jours et s'est déroulé intégralement à Los Angeles. Le film a été réalisé sous l'influence principale des films de George A. Romero et Alfred Hitchcock. "Skyline" n'a pas été financé par une major comme c'est d'habitude le cas sur les films à effets spéciaux, car les deux réalisateurs craignaient de devoir subir des concessions artistiques. Afin d'obtenir les financements nécessaires, ils ont auto-financé et monté une bande-démo réalisée en une journée de tournage qu'ils ont ensuite diffusé à plusieurs producteurs au cours du festival de Berlin. Une suite à "Skyline" a été mise en chantier avant même la sortie du film.
(Lire la suite)

Un balcon sur la mer (2010), la critique de GUY05
Marie-Josée Croze en blonde platine n'aurait-elle pas des faux airs de Kim Novak ? Le jeu sur les fausses identités ne vous donnerait-il pas des "Sueurs froides" ? Il semblerait que l'influence d'Alfred Hitchcock ne soit pas si fortuite dans 'Un balcon sur la mer"...
(Lire la suite)

Home for Christmas (2010), la critique de GUY05
"Home for Christmas" a reçu le Prix du meilleur scénario au Festival de San Sebastian 2010.
(Lire la suite)

Everyone Else (2009), la critique de GUY05
Ce film a reçu deux Ours d’Argent en 2009, le Grand Prix du Jury et le prix de la Meilleure Actrice pour Birgit Minichmayr, lors de Festival de Berlin. Il a en outre reçu le Prix de la mise en scène au Festival BAFICI de Buenos Aires.
(Lire la suite)

Mardi, après Noël (2009), la critique de GUY05
Ce film a reçu le Bayard d'Or du Meilleur Film du Festival International du Film Francophone de Namur (FIFF) en octobre 2010.
(Lire la suite)

Nowhere Boy (2010), la critique de GUY05
Si "Nowhere Boy" n'est pas le premier film tourné sur l'ex-Beatles assassiné en 1980, c'est en revanche le premier à traiter de son enfance, avant qu'il n'intègre le groupe qui forgera sa renommée. (Allociné)
(Lire la suite)

Les trois prochains jours (2010), la critique de GUY05
"The next three days" reprend l'histoire d'un film de Fred Cavayé sorti en 2008, intitulé "Pour elle" qui réunissait à l'écran Vincent Lindon et Diane Kruger. L'affiche américaine du film, très stylisée, a attiré l'oeil des critiques de cinéma. Des photographies, une mappemonde et des lignes composent, de manière abstraite, le visage de Russell Crowe qui se trouve être la cible de l'affiche. Ce visuel reconstruit également l'histoire familiale du personnage (les photographies rappellent des moments de joie), désormais liée inextricablement, à la justice et à la violence (ce que signalent le dessin de la cible et l'oeil vengeur de l'acteur)...
(Lire la suite)

We Are Four Lions (2010), la critique de GUY05
"We Are Four Lions" a été sélectionné en compétition officielle lors du Festival du Film de Sundance 2010.
(Lire la suite)

De son appartement (2007), la critique de GUY05
Véritable film-concept, "De son appartement" suit Jean-Claude Rousseau 70 minutes durant alors qu'il est seul chez lui. On le voit ainsi ponctuer ses lectures de Bérénice de tâches domestiques et d'occupations journalières. "Comme si Rousseau, tirant parti des possibilités du cadre et du montage, tâchait de mesurer l'impact sur l'espace quotidien d'un texte consacré à l'attente de l'autre, à la peur de son absence," écrit Mathieu Capel dans Images de la Culture. (Allociné)
(Lire la suite)