Accueil » Les critiques de films proposées par les membres

Toutes vos critiques :

Star Wars : le réveil de la force
Star Wars : le réveil de la force (2015), la critique de B.G
  Allons droit au but : Star Wars : Le réveil de la force est un film divertissant, qui donne tout son sens à l'ambitieuse saga intergalactique créée par George Lucas il y a près de 40 ans. On retrouve les personnages mythiques de la première trilogie. Carrie Fisher reprend le rôle de Leia, la princesse, et Harrison Ford celui d'Han Solo. Ce septième volet marque un retour aux sources, avec de nombreuses références à la première trilogie sortie entre 1977 et 1983. On retrouve sans surprise les personnages mythiques de la Princesse Leia, qui a pris du galon, et Han Solo, qui a poursuivi sa route. Mais Le réveil de la force n'a rien d'un film nostalgique...
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Un + une
Un + une (2015), la critique de little river
Un célèbre compositeur de musiques de films (Jean Dujardin) est à New Dehli pour travailler sur une comédie musicale. Invité à un dîner par l’ambassadeur de France (Christophe Lambert), ce collectionneur de femmes, rangé des jupons depuis peu, sympathise avec sa voisine de table (Elsa Zylberstein), la femme du diplomate. Le destin va les unir dans un pèlerinage sur les rives du Gange, un voyage aussi initiatique qu’érotique...
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Suburra
Suburra (2015), la critique de B.G
La Suburra, quartier malfamé de Rome, est le théâtre d’un ambitieux projet immobilier. L’État, le Vatican et la Mafia sont impliqués. En sept jours, la mécanique va s’enrayer : la Suburra va sombrer, et renaître. Dans la Rome antique, "la Suburra", c'était le nom du quartier des tavernes et des bordels où les nobles sénateurs rencontraient en secret les chefs criminels pour faire commerce ensemble...
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Le Prophète
Le Prophète (2015), la critique de B.G
Sur l’île fictionnelle d’Orphalese, Almitra, une petite fille de huit ans, rencontre Mustafa, prisonnier politique assigné à résidence. Contre toute attente, cette rencontre se transforme en amitié. Ce même jour, les autorités apprennent à Mustafa sa libération. Des gardes sont chargés de l’escorter immédiatement au bateau qui le ramènera vers son pays natal. Sur son chemin, Mustafa partage ses poèmes et sa vision de la vie avec les habitants d’Orphalese. Almitra, qui le suit discrètement, se représente ces paroles dans des séquences oniriques visuellement éblouissantes...
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L'Attente
L'Attente (2015), la critique de B.G
Dans les grands salons d’une ancienne villa marquée par le temps, Anna, touchée par un deuil soudain, passe ses journées dans la solitude. La campagne sicilienne, sauvage et d’une grande beauté, entoure la maison et l’isole tandis que le brouillard se lève lentement sur les flancs de l’Etna. Seuls les pas de Pietro, l’homme à tout faire, rompent le silence. À l’improviste arrive Jeanne, la petite amie de Giuseppe, le fils d’Anna, qu’il a invitée à venir passer quelques jours en Sicile. Anna ignorait l’existence de Jeanne et Giuseppe est absent. Il va revenir bientôt, très bientôt.....c’est ce que dit Anna à Jeanne...
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Le Grand jeu
Le Grand jeu (2015), la critique de B.G
Panier de crabes Melvil Poupaud incarne parfaitement un quarantenaire assez bien fait de sa personne, Pierre Blum, un écrivain en panne habitué aux mondanités. De ces garçons classieux, un peu vains mais charmants, qui hantent les salons et dont on se demande à quoi ils croient, à quoi ils jouent, éventuellement à quoi ils servent… Encore drapé dans l'aura de l'instant de gloire remporté lors du succès littéraire de son premier et unique roman – publié dix ans auparavant, ça commence à dater –, il semble devoir glisser irrémédiablement dans l'oubli...
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My Skinny Sister
My Skinny Sister (2015), la critique de B.G
Vous n'êtes pas prêts d'oublier la gouaille et la bouille joufflue de la rouquine Stella, épatant personnage de collégienne amenée à basculer trop vite dans l'âge adulte alors qu'elle est loin d'en avoir fini avec l'enfance. Stella a douze ans et c'est une pré-ado comme bien d'autres : grande gueule, un peu trop boulotte, pas assez conforme aux modèles imposés pour être à la fois la fille populaire et celle qui attire les regards des garçons...
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La Vie très privée de Monsieur Sim
La Vie très privée de Monsieur Sim (2014), la critique de B.G
  Monsieur Sim (comme la carte)   C'est l'histoire d'un type ordinaire, Monsieur Sim (« comme la carte », ajoute-t-il invariablement pour se présenter), qui est persuadé d'être « ennuyeux à mourir », d'être un loser absolu. Et à force d'en être convaincu lui-même, il a fini par en convaincre les autres…Quand le film commence, il rentre de vacances, un séjour tout compris dans un hôtel-club familial au bord de la Méditerranée. Mais il y est allé seul après avoir été plaqué par sa femme… Et chacun sait que rien n'est plus sinistre qu'un hôtel-club quand on est célibataire...
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Capitaine Thomas Sankara
Capitaine Thomas Sankara (2014), la critique de B.G
Thomas Sankara devient président de la Haute-Volta le 4 août 1983. Une année après, il marque définitivement l'histoire et l'identité de son pays en le rebaptisant Burkina Faso, littéralement la « terre des hommes intègres ». Bien au-delà des frontières de son pays, il a représenté un immense espoir pour une grande partie de la jeunesse africaine...
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Au cœur de l'océan
Au cœur de l'océan (2013), la critique de B.G
Bien sévère la critique au sujet de ce film en invoquant le fait que le film est loin de l’esprit de Moby Dick. S’il en loin c’est le sujet même de ce film qui nous raconte comment le célèbre écrivain Herman Melville a puisé ses sources pour écrire un roman troublant à plus d’un titre sur le personnage de Moby Dick suivi par un cachalot avec sa chaloupe  après avoir sombré dans l’océan corps et biens. Le spectateur peut faire la part des choses pour élucider les parties imaginées du roman avec la réalité...
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Oncle Bernard - l'anti-leçon d'économie
Oncle Bernard - l'anti-leçon d'économie (2015), la critique de B.G
Bernard Maris, économiste reconnu, universitaire, écrivain, essayiste, journaliste, a été assassiné le 7 janvier 2015 avec les dessinateurs Cabu, Charb,Tignous, Honoré et Wolinski de Charlie Hebdo. Grand spécialiste de la pensée keynésienne, il a été une personnalité marquante de la pensée économique contemporaine. Ses choix, qui ne plaisaient pas à tout le monde, l’ont conduit à pourfendre inlassablement l’économie standard et à dénoncer ses impostures. Il dénonçait une société de rentiers, où le mot inflation est tabou. C'est ce qui ressort de l'interview qu'il avait donnée en mars 2000 dans les locaux du journal.
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À peine j'ouvre les yeux
À peine j'ouvre les yeux (2015), la critique de B.G
Le cinéma est un outil formidable, un moyen incomparable de s'immerger dans des réalités éloignées des nôtres, de représenter des parties du monde qui nous seraient sinon invisibles, de raconter des histoires qui nous permettent de mieux appréhender des moments clés de l'Histoire. Sur les révolutions qui ont émergé dans de nombreux pays arabes au début de cette décennie, beaucoup de choses ont été dites et montrées. Nous avons vu les images documentaires des immenses manifestations et du renversement des pouvoirs en place, de la répression et des échecs...
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La Vie d'Adèle - Chapitres 1 et 2
La Vie d'Adèle - Chapitres 1 et 2 (2013), la critique de Arnaud
Une décision de justice vient d'annuler le visa d'exploitation accordé par le CSA au film "La vie d'Adèle" (Palme d'or 2013), en raison de scènes de sexe jugées trop réaliste. L'avertissement portait sur une interdiction aux moins de 12 ans en raison : des "scènes de sexe réalistes" du film "de nature à heurter la sensibilité du jeune public". Ainsi, le ministre de la culture a 2 mois pour procéder à nouvel examen de la demande de visa d'exploitation du film, décision de la Cour administrative d'appel de Paris rendue ce mercredi 9 décembre 2015. Le ministère de la culture a indiqué vouloir introduire un recours devant le Conseil d'Etat...
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Back Home
Back Home (2015), la critique de B.G
Initialement intitulé PLUS FORT QUE LES BOMBES lors de sa présentation à Cannes mais que les attentats de Paris ont décidé le distributeur à changer le titre en BACK HOME, le film se révèle être un des plus attendus de l'annéeSi Joachim Trier nous avait intrigué avec son premier film Nouvelle donne, il nous avait particulièrement ébloui avec le suivant, Oslo, 31 Août, adaptation aussi lumineuse que crépusculaire du Feu follet de Pierre Drieu la Rochelle, magnifique portrait d’un jeune homme rongé par la solitude et la culpabilité...
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La Peau de Bax
La Peau de Bax (2015), la critique de B.G
Le jour de son anniversaire, Schneider, un tueur à gages, reçoit un contrat à honorer: l’exécution de l’écrivain Ramon Bax. D’abord réticent, Schneider accepte en espérant bien rentrer assez tôt pour aider sa femme à préparer les festivités du soir prévues en son honneur. Mais la tâche se révèle plus compliquée que prévue. À première vue, « La Peau de Bax », pourrait s’inscrire dans une forme très particulière de thrillers qui connaît un grand succès ces derniers temps: le film de nettoyeurs ou de tueurs qui mènent une double vie...
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La Symphonie Des Brigands
La Symphonie Des Brigands (1936), la critique de vba
Un chef d'œuvre de film musical quasi introuvable 
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Knight of Cups
Knight of Cups (2015), la critique de B.G
Nous pénétrons dans l’univers de Terrence Malick grâce à une splendide combinaison de collages alliant le son à l’image, un long poème filmé, à la fois esthétique et souvent abstrait. Dans ce film de presque deux heures, Christian Bale interprète Rick, un scénariste hollywoodien qui connait le succès professionnel autant qu'avec les femmes, et semble en pleine crise de la quarantaine, cherchant un sens à sa vie...
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007 Spectre
007 Spectre (2014), la critique de B.G
Ce n'est pas le meilleur ni le pire. Comme la franchise nous a offert deux œuvres spectaculaires (Casino royal et Skyfall) au cours des dernières années, elle nous a amenés à critiquer plus sévèrement les productions subséquentes. On retrouve dans Spectre les classiques de l'univers de James bond; de belles voitures, de belles femmes, des jouets technologiques, des cascades spectaculaires et un agent secret charismatique. Mais, en voulant respecter ces préceptes instaurés par les opus précédents, on en vient presque à la caricature. La scène avec Monica Bellucci frôle la dérision et nous fait remettre en doute cette détermination aveugle d'honorer le modèle...
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Les Suffragettes
Les Suffragettes (2015), la critique de B.G
Suffragettes… Le mot a un petit côté léger et désuet, comme s'il évoquait une réalité certes sympathique mais sans grande conséquence, sans grand enjeu. Et pourtant ! Il faut se rappeler que ce nom de « suffragettes » désigne des femmes audacieuses et courageuses, des guerrières ordinaires qui se sont battues pour le droit de vote des femmes dans l'Angleterre du début du xxe siècle. Un combat qui mit encore quelques années à se répercuter en France et qui n’est pas encore venu à bout, un siècle plus tard, des résistances mâles les plus archaïques...
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Taj Mahal
Taj Mahal (2014), la critique de B.G
L'hôtel Taj Mahal, c'est l'hôtel le plus luxueux de Bombay, une énorme pièce montée qui trône sur une ville cosmopolite, une des plus grandes places financières du monde, mais grouillante de pauvres qui espèrent grappiller quelques miettes de cette concentration de richesse, à proximité des grands hôtels et des cafés... Jamais Louise n'aurait dû se trouver là si la maison, prévue par l'entreprise de son père qui l'a muté là pour deux ans, avait été prête...
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